En 2012, je publiais dans le magazine Ecoute (août 2012) un article (cf. ci-après) consacré à une Bourguignonne au destin peu ordinaire : Jeanne Baret1, la première femme à qui il aurait été donné de faire le tour du monde.
Théâtre durant trois jours (12, 13 et 14 juin) d’exactions d’une violence telle que le ministère de l’Intérieur a dû dépêcher des renforts sur place, Dijon a fait les gros titres de la presse nationale et internationale. Le Süddeutsche Zeitung a lui aussi rendu compte de la stupeur qui a frappé non seulement les Dijonnais, mais également tous ceux qui associent à ma ville de naissance des images à mille lieues de celles dont les chaînes de télévision de France et de Navarre ne se sont pas montrées avares.
Dem früheren Kulturminister von François Mitterrand, Jack Lang,hatFrankreich das »Fest der Musik« zu verdanken, das seit 1982 jedes Jahr am 21. Juni im ganzen Land gefeiert wird. Faites de la musique, Fête de la Musique (»Macht Musik, Fest der Musik«) lautet das Motto der Veranstaltung, die ursprünglich keine sein wollte. An diesem Tag werden alle, ob Profimusiker oder Amateure, dazu aufgerufen, unterm freien Himmel zu musizieren und somit ein breites Publikum an ihrem mehr oder weniger gegebenen Talent teilhaben zu lassen.
Avec les 80 ans de l’invasion allemande de l’Europe de l’Ouest en mai 1940, les 80 ans de la signature de l’armistice entre la France et l’Allemagne le 22 juin 1940, les 75 ans de la libération des camps de concentration1, les 75 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe le 8 mai 1945, l’année 2020 promettait d’être commémorative et, en France plus particulièrement, gaullienne. « La France outragée, la France brisée, la France martyrisée, mais la France libérée » entendait célébrer dignement les 130 ans de la naissance et les 50 ans de la disparition du général de Gaulle, figure tutélaire de la Ve République, ainsi que les 80 ans de l’appel qu’il lança le 18 juin 1940 après avoir quitté la France qui s’apprêtait à s’engager « dans la voie de la collaboration »2.
Et puis, la3 Covid-19 est arrivée et avec elle, une nouvelle manière de s’acquitter du « devoir de mémoire » : nombre restreint d’écharpes tricolores, pas de vétérans ("personnes à risque"), pas de public et, ceci expliquant sans doute cela, pratiquement pas de médias. Place donc à la « commémoration à huis clos » ou « a minima », expressions qui ont immédiatement fait florès alors qu’elles frisent le contresens.
»Frankreich hat eine Schlacht verloren, aber den Krieg hat Frankreich nicht verloren.«
Am 18. Juni 1940 ermahnte General de Gaulle aus London seine Landsleute, den Kampf fortzusetzen. Der von Marschall Pétain geführten Regierung zum Trotz: Am Vortag hatte dieser nämlich seine Absicht bekannt gegeben, das Dritte Reich um einen Waffenstillstand zu ersuchen.
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